Les pistes de travail ne manquent pas

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Les essais ont comparé l’effet du Pyrévert, le seul traitement autorisé en Bio sur cicadelle de la flavescence dorée, avec d’autres pistes de travail telles que l’Argibio, le silical et l’huile de neem.Photos : Della Giustina William/Inra
Les rencontres de la viticulture biologique se sont tenues à Beaune fin janvier. L’occasion de faire le point sur les expérimentations menées dans la région en bio, par le Sedarb et les chambres d’agriculture. Avec en tête, la problématique flavescence dorée, mais aussi les alternatives au cuivre contre le mildiou.«La lutte contre le vecteur n’est qu’un élément de la lutte contre la flavescence dorée », a rappelé Odile Cadiou, du Sedarb. Le rôle des prospections, les mesures d’arrachage des pieds contaminés demeurent des leviers essentiels dans le bras de fer contre la flavescence dorée. Des essais ont été réalisés en 2013 en Côte-d’Or (Morey-Saint-Denis) pour comparer le Pyrévert, le seul traitement autorisé en bio, avec d’autres pistes de travail : l’Argibio, le silical et l’huile de neem.« D’une part, ces expérimentations confirment l’efficacité du Pyrévert : il n’y a pas d’effet choc, mais on arrive à une efficacité de 100 % au bout des trois traitements. Au niveau des alternatives testées, seule l’huile de neem (non autorisée) a montré une petite efficacité, mais avec une quantité…
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