Les adjuvants en viticulture, un coup de pouce à étudier au cas par cas

Article réservé aux abonnés

dérive lors d'un traitement phytosanitaire en viticulture

Les adjuvants peuvent améliorer les applications en conditions limitantes, par exemple grâce à leur propriétés anti-dérive.

Crédit photo Emmanuelle Thomas
Plutôt que d’utiliser des « recettes de grand-mère », l’efficacité des herbicides (ou autres traitements) peut être améliorée par l’utilisation d’adjuvants homologués. À raisonner au cas par cas.
Ajouter du phosphate di-ammonique, du gas-oil ou encore de l’ammonitrate dans la bouillie destinée au désherbage : une pratique certes peu onéreuse, mais non sans danger.

Derrière ces usages, un objectif : améliorer l’efficacité des herbicides.  « Mais nous préconisons d’utiliser des adjuvants homologués », insiste Frédéric Boyer, responsable technique du groupe Perret, agrodistributeur dans le Gard. En effet, l’homologation est un gage d’efficacité selon la culture et l’usage envisagés, aussi bien que de conformité à la réglementation.



L’utilisation d’adjuvant est relativement peu répandue en viticulture, si l’on compare aux grandes cultures. Pourtant, depuis plusieurs années, les fabricants ont travaillé…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Viticulture

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15