Les couverts sont un carburant pour le sol

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Opération de roulage du couvert au printemps. Photos : P. Meyer
Les couverts végétaux n’ont presque plus de secrets pour ce viticulteur alsacien. Loin d’être une contrainte, il en a fait un véritable outil pour développer la fertilité naturelle de ses sols, sans pénaliser la production de raisins, bien au contraire.Patrick Meyer, du domaine viticole alsacien Julien Meyer, est en viticulture biologique depuis la fin des années 1980, en biodynamie depuis 1998 et en travail du sol simplifié également depuis 1998. La couverture végétale des sols (« enherbement ») a suivi naturellement ce cheminement et toutes les parcelles (8,5 hectares) sont ensemencées chaque année. « Nous suivons les mêmes principes que les couverts végétaux en grandes cultures. Par cette couverture, nous cherchons à protéger la surface du sol, à améliorer l’efficience de l’eau dans le profil, à développer l’activité biologique et la transformation des matières organiques (surtout l’humification)… Mais si, en grandes cultures, les paysans cherchent à maximiser la biomasse produite du couvert, en viticulture, ce serait insensé d’avoir un tel objectif. Il faut penser avant tout à la qualité…
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