Les capteurs peuvent-ils détecter des symptômes de maladies de la vigne invisibles à l’œil humain ?

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Identifier un pied atteint de maladie avant même que les premiers symptômes ne se déclarent et qu’il y ait contagion à la parcelle, et aller le traiter avec un drone : ce scénario est-il raisonnablement envisageable ? Rendre visible ce qui ne l’est pas ! Grâce aux traitements d’images, il serait possible de repérer des maladies comme le mildiou, l’oïdium, le botrytis ou encore des thromboses vasculaires de sève, qui se manifestent par des symptômes biochimiques bien avant qu’ils n’apparaissent à l’œil nu. Comment est-ce possible ? Parce que les plantes malades ou attaquées ont une signature chimique particulière ce qui signifie qu’elles émettent des couleurs différentes de celles émises lorsqu’elles sont saines. Ainsi, le traitement par imagerie d’une photo de pied de vigne pourrait renseigner des informations sur l’état de santé de la vigne bien en amont de l’apparition des premiers symptômes visibles. Ce que Joseph Capus avait d’ailleurs soulevé en 1930 dans son ouvrage de référence Le mildiou de la vigne, dans lequel il préconisait de traiter la maladie au moins 28 jours avant que n’apparaisse la première tache d’huile. À une époque où, faut-il le rappeler, il n’y avait pas…
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