Irrigation: les retenues de la discorde

Article réservé aux abonnés

Pour les producteurs irrigants, la sécurité de l’approvisionnement en eau peut passer par la création de retenues artificielles permettant de stocker de l'eau d'hiver pour l'utiliser en période d'irrigation. La demande des viticulteurs est croissante mais les projets de retenues font souvent l’objet de contestations.Ressource fondamentale pour l'agriculture, l’eau peut se faire rare à certaines périodes de l’année par manque d'apports pluviométriques, obligeant les agriculteurs à recourir à l’irrigation par prélèvement dans les rivières, nappes ou retenues alimentées par des eaux de ruissellement. Avec près de 1,4 million d’hectares en France, la surface irriguée représente actuellement 5 % de la SAU et se concentre principalement sur les cultures de maïs, légumes frais et fruits et dans les régions du Centre, Ouest et sud de la France.Pour les agriculteurs et notamment les viticulteurs irrigants confrontés au difficile accès à l’eau, dans un contexte de sécheresses plus fortes et plus fréquentes dues au dérèglement climatique, le développement de l’offre en eau par la création de retenues artificielles devient une des réponses possibles : il s'agit de construire des ouvrages…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Viticulture

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15