Andromède d’Aquadoc, une solution de gestion partagée de l’eau
La solution Andromède d’Aquadoc permet un meilleur partage d’une ressource en eau limitée en débit et en volume.
La solution Andromède d’Aquadoc permet un meilleur partage d’une ressource en eau limitée en débit et en volume.
Le pré-jury du salon Sival s’est réuni le 19 novembre dernier et a sélectionné 37 dossiers qui pourront concourir pour la finale du concours des innovations 2020.
Pour limiter le stress hydrique des vignes, l’un des leviers consiste à « conserver » l’eau dans le sol et à éviter les pertes, afin que chaque goutte de pluie ou d’eau apportée par l’irrigation profite à la vigne. L’addition dans le sol de composés capables de stocker l’eau puis de la restituer en fonction du besoin des plantes est une piste à l’étude.
En France, toutes les vignes irrigables servant à l’élaboration de vin de cuve sont soumises à une règle commune : l’irrigation est interdite entre la véraison (et au plus tard le 15 août) et la récolte.
Petits apports fréquents ou gros apports peu fréquents ? C’est une question capitale lorsque l’on irrigue.
Pour pratiquer une irrigation de précision, le pilotage des apports est aussi important que l’estimation des besoins en eau de la vigne. Des experts de l’irrigation donnent leurs points de vue sur la meilleure stratégie à appliquer.
Pour Alain Deloire, enseignant-chercheur à Montpellier SupAgro et spécialiste de l’irrigation de la vigne, les apports d’eau durant le cycle végétatif n’ont pas d’impact direct sur le potentiel de rendement. En revanche, ils permettent d’atteindre le rendement fixé après la floraison.
Pour maintenir le profil organoleptique de ses vins rosés de Provence, Nicolas Paul équipe progressivement son domaine de l’irrigation. Un pilotage précis des apports se met aussi en place.
La société ITK a récemment réalisé une étude prospective sur l’impact du changement climatique en région Paca.
Stéphane Branchaud, producteur de cognac, est l’un des premiers viticulteurs de la région à avoir installé le goutte-à-goutte dans ses vignes. Dans ce vignoble, les pionniers voient dans cette installation un moyen d’améliorer la fertilisation. Stéphane Branchaud nous explique sa démarche.