L’impact de l’oxygène quantifié

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Depuis quelques années, l’apparition de nouvelles méthodes de mesures  de l’oxygène dans le vin favorise la prise en compte de ce paramètre  par les vinificateurs (ici, un oxymètre composé d’un boîtier « tout-terrain »,  d’un long câble et d’une sonde optique). Photos : I. Aubert/pixel image
Quel est l’impact de différents niveaux d’oxygène dans le vin après la mise en bouteille ? Une groupe de travail national, coordonné par l’IFV, a effectué des mesures et confirme l’intérêt de limiter les apports le plus possible, surtout sur les vins fragiles (blancs et rosés). Un taux élevé d’oxygène à la mise diminue surtout la qualité aromatique des vins.La présence d’un taux élevé d’oxygène pendant la conservation des vins diminue leur qualité. On s’en doutait, mais à quelle vitesse, avec quelle intensité et sur quel critère l’impact est-il le plus prononcé ? C’est ce qu’ont voulu savoir les participants d’un groupe de travail national sur l’oxygène, financé par FranceAgriMer, en mesurant l’évolution de vins après une mise en bouteille avec trois niveaux différents d’oxygène. Une trentaine de vins blancs, rosés et rouges (millésimes 2011 et 2012) ont été suivis pendant un an après l’embouteillage. Les vins, issus de plusieurs régions (Alsace, Beaujolais, Bordeaux, Languedoc, Provence, Sud-Ouest, vallée du Rhône), étaient bouchés avec le même type de bouchon synthétique, et stockés entre…
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