Un bon treuil vigneron doit être à la fois robuste et léger

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L’opérateur qui gère le treuil doit exercer une vigilance constante pour garantir la sécurité. Photos : I. Aubert/Pixel Image
Sur les 35 ha de coteaux travaillés en prestation d’entretien du sol, l’entreprise Alatache utilise du matériel de la marque Plumett. Cette entreprise suisse avait mis au point ce système d’outil guidé par treuil dans les années 1930, mais avait abandonné la fabrication par manque de demande, avec l’arrivée des désherbants de synthèse. Aujourd’hui, la société a accepté de relancer une fabrication sous réserve d’une commande groupée. L’entreprise Alatache, dont l’actionnaire majoritaire est la maison Chapoutier depuis l’an dernier, se charge de grouper les demandes. Dix exemplaires ont été commandés en 2016. Une pré-commande est en cours, pour une utilisation au printemps 2019. Avis aux intéressés ! Le coût d’une machine est de 18 000 €, auquel il faut ajouter le prix de la charrue.Embarqué sur chenilletteBien que d’apparence assez simple, le treuil motorisé doit répondre à des exigences contradictoires : il doit être léger puisqu’il est déplacé à la main (comme une brouette) entre les rangs et doit parfois être emmené en haut des parcelles manuellement. Mais il doit aussi être robuste. Le système de cabestan doit permettre un bon déroulement/enroulement du câble.D’autres matériels…
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