Matière organique : le sol en veut de la fraîche !

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Photo : Estandon

Étant donné la variabilité des Ismo pour une même catégorie de produits, il peut être judicieux de prévoir une analyse qui permettra de bien caractériser la matière organique à utiliser.

Crédit photo estandon
Dans un système viticole où les restitutions sont souvent faibles, les apports de matière organique doivent être raisonnés en fonction des objectifs : constituer son capital ou lui faire produire des « intérêts » utilisables par la vigne. Dans ce dernier cas, la matière organique fraîche s’impose.
Tous les produits organiques n’ont pas le même rôle dans le sol. Certains, comme le compost, servent plutôt de gîte à la vie du sol, avec un rôle de protection, de résistance face à l’aléa climatique. D’autres, comme les couverts végétaux, servent de nourriture : ils sont jeunes, pleins d’énergie et de carbone facile à digérer par les micro-organismes.

Apporter du compost pour augmenter le taux de matière organique du sol est une stratégie efficace. Il va aider à améliorer la capacité de rétention en eau du sol, sa stabilité structurale…

Mais cet apport de matière organique déjà évoluée…
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