Les travaux de Sofrapar sur les biostimulants en vigne

Article réservé aux abonnés

Les biostimulants se définissent comme des substances et/ou des micro-organismes dont la fonction est de stimuler des processus naturels qui favorisent et améliorent l’absorption ou l’utilisation des nutriments, la tolérance aux stress abiotiques, ou la qualité de la culture. Photo : sergeka/fotolia
Sofrapar travaille sur les « biostimulants » depuis 20 ans, et pourtant il reste encore de nombreuses choses à faire. Travailler sur les biostimulants demande des recherches et expérimentations sur le long terme, en interne, mais aussi à travers des partenariats avec des organismes indépendants. Pour pouvoir présenter un produit aux viticulteurs, il est essentiel de savoir quelle substance agit sur quel processus physiologique, comment il pénètre dans la vigne, et de définir les conditions d’emploi précises des biostimulants. Ils doivent être validés par des essais terrain significatifs sur plusieurs années sur le même site.Pour Ecobios (activateur de la photosynthèse), par exemple, il a fallu identifier le composé en jeu : un petit lipopeptide, la lipoxyline, qui permet aux chloroplastes des feuilles de mieux fonctionner, améliorant la photosynthèse de 20 %. Cela se traduit notamment par des effets sur la maturité des raisins, avec une augmentation des polyphénols, de la teneur en sucres, des réserves en amidon dans les bois. Mais pas seulement, avec par exemple une résistance mécanique au botrytis, par épaississement des peaux des baies. Nos travaux ont permis d’établir…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Viticulture

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15