Face à l’oïdium, mieux employer le soufre

Article réservé aux abonnés

Vaut-il mieux utiliser du soufre mouillable ou en poudrage ? Comment éviter les risques de brûlure ? Quels stades d’intervention sont à privilégier ? Et quelles solutions existent en bio en complément du soufre ? Autant de questions abordées sur le sujet oïdium, lors d’une rencontre organisée par l’ATV49.Mieux comprendre l’oïdium, avec un socle de connaissances partagées par les vignerons, pour mieux maîtriser la maladie. Voici l’objectif visé par Guillaume Gastaldi, conseiller viticole à la Chambre d’agriculture du Maine-et-Loire, lors de cette journée organisée par l’ATV49 en avril dernier au Château de Pimpéan, en Anjou.Si la température minimale de germination des spores commence dès 5-7°C, c’est autour de 16-18°C que l’oïdium accélère son développement, avec des températures optimales autour de 22-28°C, et une humidité relative supérieure à 70 %, a rappelé Nicolas Constant, de l’IFV. « Au-delà de 40 °C, le champignon ne se développera plus, et passé les 45°C, il meurt. » La pluie n’est pas nécessaire pour la germination des conidies, mais elle est indispensable en début de cycle pour l’ouverture des cléistothèces (organes de reproduction…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Viticulture

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15