Au Royaume-Uni, la consommation de vin se maintient à 20 l/an/hab, malgré une forte hausse des taxes et les incitations à une moindre consommation. Photo : Fotolia/jpgonMieux prendre en compte les attentes du consommateur final (et pas seulement celles du distributeur), communiquer de façon plus marquante, explorer le marché pour les crémants : telles sont les recommandations d’une étude portant sur les vins français au Royaume-Uni.Si de nombreuses incertitudes demeurent face aux conditions douanières après-Brexit, les habitants du Royaume-Uni demeurent consommateurs de vin. Il est même devenu la boisson préférée des femmes : la consommation moyenne de vin s’établit à 20 l/an/hab. Elle reste stable ces dernières années, malgré la forte hausse des taxes et une sensibilisation à une moindre consommation.Les vins français sont présents sur la plupart des circuits outre-Manche, mais ils subissent une érosion de leurs parts de marché.Pour tenter d’enrayer ce phénomène, une étude sur le positionnement et les attentes vis-à-vis des vins français a été réalisée à la demande du Cniv et de FranceAgriMer.En attente de nouveautésLes résultats montrent que les vins français sont plutôt bien positionnés…
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