A quoi ressemble une politique ultra-libérale appliquée à la filière vin?

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Dans un article publié sur le site Internet de l’IREF, un think tank qui déclare « militer pour la liberté économique et la concurrence fiscale », Laurent Pahpy, se propose de répondre à la question : « Comment rétablir la compétitivité de la viticulture française ? », en appliquant la thèse du libéralisme économique à la filière.L’Institut de recherches économiques et fiscales (IREF) est un think tank plaidant pour l’application d’une économie libérale dite néoclassique. Dans la théorie, cette thèse conteste la légitimité et l’efficacité de l’État dans le champ de l’économie. L’État doit se focaliser sur ses actions régaliennes (sécurité intérieure, armée, justice...) car, pour les libéraux, les consommateurs savent mieux que l’État ce qu’ils peuvent ou doivent consommer. Il en est de même avec les producteurs qui sont plus capables de définir ce qu’ils peuvent ou doivent produire. Le rapport Pahpy applique à la filière vin, cette vision de l’économie où la réglementation publique est considérée comme une entrave, « un frein compétitif ».L’offre et la demandePour le think tank libéral, le premier problème de la filière française et européenne…
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