Un an après le déclenchement de l'enquête chinoise anti-dumping et anti-subventions, la filière vitivinicole a fait ses comptes. L'enregistrement des entreprises et la traduction des différents documents demandés par l'administration chinoise ont finalement coûté 1 M€. Cette somme a été financée par les interprofessions, via le CNIV et l'Anivin. Le Ministère de l'agriculture a participé à hauteur de 40 %. Si la crise s'est dénouée diplomatiquement, le risque était que les vins européens se voient appliquer des droits de douanes très élevés par la Chine. Cette enquête avait été initiée en rétorsion de la taxation des panneaux solaires chinois par l'Europe.
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