Se passer des cultures de printemps, une solution contre la problématique de l'eau ?

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D’un coté, le manque d’eau au printemps et en été met en difficulté les cultures de printemps, mais de l’autre, les rotations courtes, sans culture de printemps, font face à des impasses de désherbage. Photo : H.Grare/Pixel6TM
Favoriser les cultures d’hiver au sein de la rotation semble au premier abord intéressant par rapport à la problématique de l’eau. Mais, aussi bien au niveau agronomique que pour répartir les risques, les cultures de printemps demeurent incontournables.

Les projections au niveau du climat pour les années à venir vont vers une augmentation des pluies en hiver, et vers des températures plus élevées et des sols de plus en plus secs en été. Les cultures implantées à l’automne/hiver sont mieux positionnées par rapport aux évolutions climatiques annoncées concernant l’eau. Mais cela ne signifie pas qu’il faut passer au 100 % cultures d’hiver.

Des enjeux à intégrer

« Le raisonnement de l’assolement et de la rotation d’une exploitation est toujours multifactoriel, il doit intégrer l’ensemble des enjeux (agronomique, économique, notamment selon l’accès aux marchés, charge de travail, répartition des risques, etc.), pas uniquement l’aspect eau. Se passer des cultures de printemps n’est pas une option viable. Sur les cinq plateformes Sypre (NDLR : expérimentation mise en place depuis 5 ans de nouveaux systèmes de culture pour faire face aux différents changements, dont le manque d’eau),…
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