« Les VSIG ont besoin d’un vignoble dédié et de contrats pluriannuels »

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Syndicaliste de longue date, Jérôme Despey, aujourd’hui président du conseil vin de FranceAgriMer, a fait du dialogue sa marque de fabrique pour arriver à ses fins. Les dossiers sont nombreux et certains des plus médiatiques se sont cristallisés dernièrement sur ses terres languedociennes.Le Tour de France débute dans un mois. La mobilisation des vignerons audois pour que les vins français soient visibles sur l’événement sportif a-t-elle payé ?Jérôme Despey : Je comprends la colère des vignerons audois quand ils ont appris que le vin officiel du Tour de France était chilien. J’ai eu la même surprise. En revanche, je ne partage pas l’idée de bloquer le Tour de France pour se faire entendre. Cela donnerait une mauvaise image des vignerons aux 3,5 milliards de téléspectateurs qui suivent la retranscription de la Grande Boucle dans le monde. Pour leur décharge, ils ne savaient pas que des négociations étaient engagées entre organisateurs du Tour et moi-même depuis un an. Je suis plus critique à l’égard des politiques qui sont tombés un peu vite dans la surenchère. Si le vin n’est pas représenté sur des événements sportifs c’est en…
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