« Les robots à la ferme, c’est plutôt pour demain »

Article réservé aux abonnés

Michel Berducat, ingénieur de recherche à l’Irstea (ex-Cemagref) est directeur adjoint de l’unité de recherche TSCF (technologies et systèmes d’information pour les agrosystèmes, département écotechnologies) basée à Clermont-Ferrand et en charge de l’innovation et des partenariats industriels.  Photo : LKP
Pragmatisme et sens des réalités économiques prévalent dans les interventions de Michel Berducat, chercheur à l'IRSTEA, et c’est bien utile.Quelle est la réalité de l’offre technologique actuelle ?Michel Berducat : Toutes les conditions sont réunies pour repenser la mécanique agricole et avoir recours à la robotique. Néanmoins, il reste à co-concevoir davantage les robots au sein des agrosystèmes utilisateurs pour simplifier les solutions technologiques et les rendre économiquement viables. La réflexion sur la mise en œuvre des tracteurs autonomes doit commencer dès la cour de ferme.Quels sont les challenges à relever pour accroître les performances de l’offre actuelle et en devenir ?M. B. : Les solutions actuelles sont destinées à des espaces ouverts, plats et structurés. Dans les prochaines années, nous devrons être capables de satisfaire la demande pour des espaces ouverts complexes, comme en végétal spécialisé. Les solutions robotisées futures devront être dotées de performances accrues pour travailler sur des terrains en pente ou à vitesse plus élevée.Exergue n°498984Les robots de cueillette sont encore au stade de concept.Comment être certain de répondre…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15