Maximiser ses chances

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Les rencontres acheteurs organisées par les interprofessions ou ici par Sud de France sont l’occasion, notamment pour les primo-exportateurs, de rencontrer des importateurs, comprendre les attentes du marché et savoir tout simplement si l’entreprise a la capacité de s’investir sur le marché américain. Photo : Marc regas
La structuration du marché : OK. L’animal importateur : OK. Les bases sont acquises, passons aux détails qui font la différence !Doit-on faire appel à un agent ?Selon Business France, un importateur prend en moyenne une marge de 30 % sur le prix départ cave. Le distributeur rajoute une marge de 30-40%. Celle du détaillant oscille entre 30 et 50 %.Est-il judicieux de rajouter un intermédiaire supplémentaire dans une chaîne déjà très longue ? Il n’y a pas de bonne réponse. Si le prix négocié et validé avec l’importateur intègre la marge de l’agent et que celui-ci est supérieur ou égal à votre prix export, pourquoi pas.Wine spectator, Wine enthusiast, Wine & Spirits Magazine… c’est obligé ?Les consommateurs américains veulent être sûrs de ne pas se tromper dans leur choix. Ils s’appuient donc sur des experts. Les critiques tels que Robert Parker, créateur de Wine Advocate, en font partie. Les scores qu’ils donnent aux vins sont affichés à côté du prix de vente dans certains magasins. Les consommateurs non connaisseurs sont friands de cette information.Des acteurs du three tier system le sont aussi,…
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