L’Anses a présenté le 21 mars au Ministre un premier avis relatif à la méthode d’identification des alternatives existantes aux néonicotinoïdes et son application à une étude de cas sur la vigne.
Le groupe de travail a ainsi conclu que pour les cicadelles de la vigne (insecte responsable de la diffusion de la flavescence dorée), il existe à l'heure actuelle des méthodes de lutte alternatives suffisamment efficaces et opérationnelles pour contribuer à une solution de substitution à l'usage des néonicotinoïdes, en termes d'efficacité, à l'horizon 2018 (pyréthrinoïdes, organophosphorés, pyréthrines, etc.). Ce constat ne préjuge pas des conclusions relatives aux risques pour la santé humaine et l’environnement (y compris les pollinisateurs) présentés par les différentes méthodes, complète…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?