Sans contrôle pulvé, gare aux pénalités !

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Ne pas soumettre son pulvérisateur au contrôle obligatoire tous les 5 ans, c’est courir le risque de sanctions… enfin a priori. Trop de producteurs, notamment viticoles, « oublient » cependant ce rendez-vous, faute de sanctions. C’est l’occasion pourtant de faire vérifier son matériel pour éviter les fuites et appliquer la bonne dose.« En grandes cultures, les contrôles de pulvérisateurs sont bien suivis. En polyculture-élevage, ils le sont moyennement, en arboriculture assez peu et en viticulture très peu avec seulement 30 à 40 % des pulvés contrôlés », reconnaît Vincent Polvèche, directeur du GIP Pulvé. Pourtant, le contrôle des pulvérisateurs est obligatoire partout en France depuis le 1er janvier 2009, et doit se faire au moins tous les cinq ans. Véritable bulletin de santé de votre pulvérisateur, ce contrôle est aussi l’occasion d’échanger avec l’inspecteur et de profiter de son expérience sur le fonctionnement du pulvérisateur et sur son entretien. Les sanctions sont de deux natures : publiques et privées.Jusqu’à 750 euros d’amendeOutre la possibilité d’une amende de 4e classe (jusqu’à 750 €) et l’obligation d’un contrôle du matériel, des retenues sont applicables sur les aides…
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