Notre demande de clarifier la loi Évin est juste et légitime 

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Joël Forgeau, 48 ans, est à la tête de Vin & Société depuis deux ans. Viticulteur en Val de Loire, il est président de l’ODG muscadet depuis 5 ans, ainsi que de la confédération des vignerons du Val de Loire depuis deux ans. Photo : Vin & Société
Où en sommes-nous avec la loi Évin ?Joël Forgeau : La loi Évin a 23 ans. Elle est rattachée à la loi de santé, qui est rouverte tous les cinq ans. C’est le cas cette année. Elle sera présentée en conseil des ministres fin septembre-début octobre et nous restons vigilants. Plusieurs menaces, comme un durcissement des messages sanitaires ou encore de la loi Évin, supprimant Internet et les réseaux sociaux, sont des pistes envisagées qui seront discutées en fin d’année à l’Assemblée nationale. Malgré notre souhait de création d’une instance inter-ministérielle qui regrouperait toutes les composantes de notre métier car le vin c’est de l’économie, du tourisme, de la santé, de l’emploi de l’agriculture, nous n’avons toujours pas de vision d’ensemble du vin en France. Il reste soit traité du point de vue agricole, soit de celui de la santé sans qu’on prenne en compte toutes ses dimensions. Prendre des mesures comme supprimer Internet pour la communication pour le vin, c’est impacter l’œnotourisme et l’image du vin à l’export. Notre demande principale porte sur la définition de la publicité.…
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