Adapter la charge à la vigueur avec la taille douce

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La taille respectueuse de la physiologie de la vigne tente d'apporter des réponses vis-à-vis des maladies du bois, et de la productivité des pieds. Cette méthode s’applique à tous les types de taille. Photo : psousa5 /Adobe stock
La taille douce physiologique de la vigne cherche à augmenter sa résilience et sa productivité. L’enjeu, pour le consultant Davy Chodjaï, est de chercher à optimiser l’espace photosynthétique en répartissant au maximum les rameaux et les raisins le long du palissage.Moins de trous entre les pieds avec des faibles vigueurs, moins d’entassements des raisins, une répartition plus homogène de l’activité photosynthétique et des grappes, et ainsi une productivité accrue avec un meilleur comportement face aux aléas climatiques : voici les objectifs de la taille douce physiologique. Le principe est de respecter « la naturalité » de la vigne, c’est-à-dire de construire l’allongement et adapter la taille à la vigueur. « Au lieu de penser grappes, il vaut mieux penser bois ! C’est parce que je fais du bois cette année que l’année d’après j’aurai du raisin. En respectant cette vision, la vigne est quasiment increvable à l’échelle humaine », indique Davy Chodjaï, expert en physiologie de la vigne, consultant basé dans le Bordelais, chez Cambiom, société qu’il a créée en 2020. Il a pu ainsi détailler son approche lors du colloque Racine (filiale de Groupe…
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