En analysant le contenu digestif d’un échantillon de 20 populations de faucheux (un ordre d'arachnides) collectés dans différentes parcelles viticoles, des chercheurs de l’Inrae de Bordeaux ont pu montrer qu’en moyenne, la moitié des individus collectés avaient consommé de l’eudémis.
Cette prédation varie avec la composition du paysage : elle est d’autant plus forte que la présence d’habitats semi-naturels est élevée.