Le château Kefraya, propriété de 300 ha d’un seul tenant au Liban, s’est doté d’un conservatoire des cépages autochtones du pays sur une surface de 1,5 ha. Cent pieds ont été greffés. Obeidi, merwah, meksasi et cinq autres cépages seront suivis à la vigne et en micro-vinification. L’objectif du domaine est d’évaluer leur résistance au stress hydrique, aux maladies mais aussi le profil des vins.
Vente
La rentabilité du Salon de l’agriculture n’est pas assurée pour les exposants vignerons
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