« Quels apports d'eau ? Il n’y a pas de réponse universelle »

Article réservé aux abonnés

« Petits apports fréquents ou gros apports peu fréquents ? C’est une question capitale lorsque l’on irrigue. En pratique, le choix dépend de chaque utilisateur, mais aussi, et surtout, de la parcelle concernée et des contraintes opérationnelles (tours d’eau, main-d’œuvre, système d’irrigation…). En résumé, il n’y a pas, selon nous, de réponse universelle à cette question. Néanmoins, pour orienter sa décision, il est bon de savoir que :• La fréquence optimale des apports doit tenir compte de l’hétérogénéité des sols au sein de la parcelle. Suite à un apport d’eau important, les zones ayant une capacité de rétention en eau plus élevée pourront tenir plus longtemps que celles ayant une capacité de rétention plus faible (pour lesquelles une partie de l’eau apportée sera perdue). Si l’on attend trop longtemps avant la prochaine irrigation, on risque ainsi d’accentuer les différences de vigueur au sein de la parcelle. Les vignes situées dans les zones à plus forte rétention continueront à croître normalement, celles situées dans les zones à plus faible rétention verront leur croissance ralentie.• On entend souvent dire qu’un gros apport permet de stimuler la croissance des racines en profondeur.…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Viticulture

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15