Vin et finance : deux termes antinomiques ?

Dans un milieu vitivinicole où le marché s’est mondialisé, on parle souvent de l’augmentation de l'offre et des prix du vin avec une concurrence qualitative exacerbée aussi bien en Europe que dans les pays du Nouveau monde. Face à ce contexte d’internationalisation, comment se valorisent les domaines français? Qu’en est-il de l'évaluation financière des domaines dans un contexte où le prix du foncier est souvent décorrélé du prix de vente des vins? Comment se développent-ils face à une législation répressive (loi Évin) favorisant peu la créativité et l’entrepreneuriat? Et comment les domaines peuvent-ils se transmettre dans un contexte concurrentiel régi par le protectionnisme de lois européennes qui ne sont pas toujours appliquées en son sein (comme par exemple les droits de plantation en Italie)?

L'environnement et la législation du secteur vitivinicole étant complexes, les domaines français rencontrent des problématiques financières diverses. Dans cet article, nous allons nous focaliser sur la transmission d'entreprises viticoles dans un contexte où le prix moyen du foncier en France s'élève à 131 600 €/ha en AOP (59 600 €/ha en AOP hors champagne) en 2013 selon la dernière étude rendue publique par la Safer.

Quels conseils donner à un propriétaire qui souhaite transmettre son domaine viticole? Cet article est un petit guide didactique des principaux points d'attention!

►►► Lire l'article en entier sur le blog du mastère CIVS

Écrit par Stéphanie Thouviot
LinkedIn
Twitter

Vente

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15