Mycorhizes en vigne : une symbiose invisible mais essentielle

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à l’œil nu, il n’est pas possible de déterminer la présence de mycorhizes sur les radicelles.  Photo : Sophie Trouvelot
Pas toujours facile de savoir ce qui se passe sous la surface du sol. Les mycorhizes, symbioses champignon-racine, jouent un rôle déterminant au vignoble. Échange de nutriments, meilleure tolérance au stress hydrique, maintien du sol font partie des bénéfices avérés de la mycorhization, d’autres effets restent encore à explorer, par exemple sur la qualité du raisin.La formation de mycorhizes est un phénomène courant dans le monde végétal : 80 % des plantes terrestres, dont la vigne, font des mycorhizes à arbuscules. Une symbiose champignon-racine fréquente, intéressante pour la vigne (meilleure tolérance à certains pathogènes, au stress hydrique, etc.) mais encore pleine de mystères : pratiques culturales favorables ou défavorables à la formation des mycorhizes, impact de la mycorhization sur la qualité du raisin, font notamment partie des pistes à explorer.Une mycorhize est une association symbiotique à bénéfices réciproques qui s’établit naturellement entre les racines des plantes et des champignons microscopiques du sol. Lors de la formation d’une mycorhize à arbuscules, le mycélium entre dans les cellules des racines et forme un arbuscule, une jonction…
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