Son second mandat ne sera pas de tout repos!

Bernard Farges est réélu à la présidence de la Cnaoc. Son discours de remerciement a été ponctué de revendications et de « coups de gueule ».
 

Nous sommes satisfaits de la réintroduction d’un instrument  de régulation des plantations au niveau européen. Néanmoins, la Commission n’a pas souhaité donner d’outils pour assurer l’étanchéité entre les segments. Nous devons donc trouver des réponses dans le futur régime national. Assurer l’étanchéité est une obligation absolue. Sur toutes les zones de production, une vigne plantée pour faire du vin sans IG ne doit pouvoir revendiquer et commercialiser que du vin sans IG. De plus, le taux de croissance national doit être une moyenne des demandes régionales, y compris pour les vins sans IG.

 
Bernard Farges s’est aussi félicité du travail commun avec le négoce sur ce sujet avant de les tacler.

Quand vous attaquez en Conseil d’Etat les dérogations d’achat de vendanges en cas de sinistre climatique, c’est inacceptable sur la forme.

 

  • Protection des noms et régulations de l’Internet

​Cliquez sur ce lien
 

  • Nouvelle réforme européenne

La nouvelle réforme du secteur en perspective avec le projet de la Commission européenne de simplifier la politique de qualité vise à fusionner les différents régimes et notamment à intégrer la politique de qualité des vins dans le régime horizontal.

La Cnaoc craint que cette réforme, selon la forme, nuise, entre autre,  à la cohésion de la filière. IGP et AOC pourraient ne plus rentrer dans le même cadre de négociations.

Nous demandons au gouvernement de s’opposer au projet de fusion comme en 2008

 

Il est facile de reconnaitre le vin comme faisant partie du patrimoine culturel, gastronomique et paysager de la France. Et après ? Nous avons la liste des députés et sénateurs ayant voté pour cette reconnaissance. En région, n’hésitez pas à solliciter ces élus sur des sujets plus engageants.

 

Nous constatons avec amertume le champ libre laissé par le Ministre aux assureurs pour adapter et améliorer le dispositif d'assurance socle. Les propositions des assureurs ne correspondent pas à nos besoins mais aux leurs.

Comme le souhaite Jérôme Despey et contre l’avis des Vignerons indépendants, la Cnaoc souhaite que l’assurance socle soit financée, en partie, en piochant dans l’enveloppe de l’OCM.
La Cnaoc refuse de baser le contrat sur les charges de l’exploitation. Elle propose des plafonds de capitaux à assurer par hectare.
Enfin, la Cnaoc s’oppose à l’obligation d’assurer toutes les cultures de l’exploitation.

Cela ne ferait que consommer des budgets par la contrainte 

Et enfin...

  • Clarification de la loi Evin

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