Le BIVB se veut rassurant. Le manque de vins de Bourgogne entraîne certes une valorisation... mais pas spéculative.
Il est évident que les hausses du prix du vrac ne seront pas répercutées telles quelles sur le prix de vente des bouteilles, contrairement à ce que l’on a pu entendre ou lire. Après 3 petites récoltes successives, les stocks de vins de Bourgogne sont bas. Cette rareté transparaît dans les échanges, aussi bien en amont que sur les marchés français et internationaux.