La filière sollicite un plan de relance

Photo : janvier/adobe stock

Alors qu’un constat précis des dommages subis par la situation actuelle en identifiant des signaux déjà négatifs avant la pandémie vient d’être dressé en Europe, la filière vitivinicole estime que la réponse de la Commission européenne est insuffisante tant au niveau financier que sur les assouplissements réglementaires.

De fait, la filière¹ presse le Gouvernement français de réagir. Elle demande :

  • Un dégagement d’au moins 500 millions d’euros, hors du programme national d’aide, pour gérer les disponibilités sur le marché à des prix attractifs et à des volumes conséquents (distillation de crise, baisse des rendements, vendange en vert, stockage privé…).
  • La mise en place d’un plan d’exonération des cotisations sociales des exploitants (Amexa) et des charges sociales patronales (MSA et Urssaf) durant la période de fermeture des caves, hôtels et restaurants.
  • La mise en place d’un fonds de compensation des taxes à 25 % imposées aux exportateurs de vins vers les États-Unis depuis le mois d’octobre 2019.

(1) CNAOC, VCF, VIF, VinIGP, JA, FNSEA, UMVIN et CNIV.

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