Vers de nouvelles possibilités d’adaptation

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Le ferradou, croisement intra-spécifique créé il y a peu par l’Inra, possède une bonne tolérance au stress hydrique. © INRA - IFV - Montpellier SupAgro (source PlantGrape)
Quels sont les effets mesurables du changement climatique sur le cycle végétatif de la vigne ? Quelles sont les pistes de recherche explorées aujourd’hui, tant sur les porte-greffe que sur les cépages ? Le point avec Laurent Audeguin, de l’IFV.  Les impacts du changement climatique – et en particulier du réchauffement – sur la biologie de la vigne sont aujourd’hui quantifiés et étudiés. Par exemple, les viticulteurs reconnaissent unanimement, par-delà les disparités régionales, que les dates de vendanges sont plus précoces. « Dans certains vignobles du Bordelais notamment (selon l’Institut des sciences de la vigne et du vin, ISVV), les stades véraison, maturité technologique et maturité phénolique ont avancé de deux semaines, à l’échelle d’un siècle. Il s’agit d’un fait avéré concernant les trois principaux cépages rouges, et singulièrement le merlot, dont la capacité à accumuler les sucres est plus importante que les autres », remarque Laurent Audeguin, en charge de la R&D au pôle national matériel végétal de l’IFV.Ailleurs, le réchauffement peut laisser une empreinte…
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