Une pierre à sel et un peu d’avoine

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Pierre Bernhard en visite auprès de ses « tondeuses » à quatre pattes. C’est surtout pour le plaisir qu’il vient, à cette occasion, leur apporter un peu d’avoine car elles se contentent de l’enherbement de la parcelle de vigne. Photos : Bernhard et Reibel
Il y a trois ans, Pierre Bernhard décidait d’introduire une petite troupe de moutons dans ses vignes conduites en bio depuis 2000. Une petite révolution mais surtout une très grande satisfaction ; à tel point qu’il envisage, l’hiver prochain, d’augmenter le cheptel.Si, par une journée d’hiver, vous vous promenez dans les vignes en coteaux du domaine alsacien Bernhard et Reibel à Châtenois, ne soyez pas surpris d’entendre tinter les cloches d’un troupeau, comme si vous étiez à la montagne. Ce sont les cinq moutons utilisés par le domaine depuis trois ans, chaque hiver, et appartenant à un éleveur du côté de Munster. « Ce berger a une centaine de moutons, d’une race à viande qui ne supporte pas d’être enfermée, même l’hiver, explique le responsable du domaine viticole, Pierre Bernhard.L’économie d’un désherbage mécaniqueSi, à la belle saison, les moutons pâturent sur les sommets des Vosges, en hiver, l’éleveur est à la recherche d’autres pâturages, si possible en bio. Utiliser des moutons pour contrôler l’enherbement de mes vignes m’intéressait car ces animaux, lorsqu’ils…
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