Pulvérisation fixe, robot et chauve-souris : du positif et quelques limites

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Alors que le projet NextGenViti se terminera en 2024, l’IFV a donné un aperçu des premiers résultats issus des trois parcelles expérimentales en Beaujolais, à Gaillac et dans le Gers. Différentes techniques ont été testées, telles que la pulvérisation à poste fixe, l’utilisation d’un robot ou de la biodiversité, pour diminuer de 75 % l’utilisation de produits phytosanitaires. La pulvérisation fixe (à l’aide de matériel d’irrigation détourné de son utilisation première) permet une haute réactivité pour traiter au moment souhaité. Mais la qualité de pulvérisation est dégradée par rapport à une pulvérisation classique, car le traitement se fait par-dessus. Une caractéristique qui entraîne aussi une plus sensibilité au vent latéral. Ce système semble plutôt efficace pour les premiers traitements, lorsque le feuillage est moindre. L’utilisation de produits de biocontrôle n’a pas posé de problème, mis à part le soufre qui a pu générer des bouchages. À noter également qu’en fonction de la longueur de tuyau et de la surface à traiter, des volumes d’effluents élevés peuvent être générés.Robot en progrèsCôté entretien du sol, le robot Ted de Naïo a mis 2 à 3 h/ha pour assurer l’entretien…
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