Il faut multiplier les outils de travail du sol pour gérer les adventices toute l'année

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Pour Régis Vacher, vigneron sur 18 ha au domaine du Caillou à Turquant (Maine-et-Loire), président de l’appellation Saumur-Champigny et membre du groupe Dephy sur le saumurois, l’arrêt du désherbage chimique en 2018 s’explique par deux points : un passage vers la bio et une responsabilité environnementale. « Les analyses d’eau des bassins-versants de la Loire, de l’Authion et du Thouet, présentant des traces de désherbants, m’ont fait réfléchir sur mes pratiques, car nous sommes tous responsables. Déjà, l’appellation Saumur-Champigny interdisait le désherbage en plein depuis 2008. Depuis trois ans, j’ai réduit la zone du cavaillon désherbée au glyphosate jusqu’à la diviser par deux, en grattant d’avantage l’espace interrang. Outre ma participation au groupe Dephy, j’ai rencontré une dizaine de vignerons bio dans un rayon de 50 km, pour échanger sur leurs pratiques. Pour entretenir le cavaillon, j’ai commencé avec des disques émotteurs, et j’utilise maintenant aussi des lames interceps Boisselet, ainsi que les petits disques Valmatic de Boisselet. Il faut plusieurs outils pour travailler le sol, même si cette année, avec les conditions météo compliquées au printemps,…
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