L’armada mécanique continue son chemin

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Changement de lame en vue pour préserver la qualité du travail. /  Un couple se reforme : l’ancien outil revient sous l’enjambeur. Photos : Flavien Roussel/pixel image
Le désherbage chimique a du plomb dans l’aile. À l’instar des mousquetaires, quatre viticulteurs champenois ont fait parler le fer. Avec les techniques mécaniques, surprises et apprentissages ont été au rendez-vous. Convaincus par ce changement et face à un l’enjeu de protection de l’eau, deux producteurs détaillent leur expérience.Situé à 10 km à l’ouest de Reims, le champ captant de Gueux a été le théâtre d’essais dans une politique de réduction d’intrants. Des viticulteurs volontaires ont testé des solutions pour gérer mécaniquement l’enherbement. La chambre d’agriculture de la Marne a accompagné l’expérience sur des parcelles situées sur des sols sableux et peu caillouteux, parfois en forte pente. L’enherbement dans ce secteur de la Marne a limité le risque d’érosion mais rajouté des contraintes d’entretien. En 2002, Dominique Lelarge (9 ha à Vrigny) semait l’herbe dans ses interrangs. Depuis la conversion en agriculture biologique en 2010 il a dû gérer cette concurrence différemment. Jean-Marie Massonnot, en viticulture conventionnelle (6 ha à Coulommes-la-Montagne), a mis à profit son…
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