La phytothérapie, retours d'expérience de vignerons

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Le domaine Monstesquiou produit en appellation Jurançon. Sébastien Bordenave Montesquieu recourt à la phytothérapie depuis huit ans.« Le domaine compte 13 ha en bio, situés sur l’appellation Jurançon, avec un climat méridional et une forte pluviométrie favorables au mildiou et à l’oïdium selon les années. Nous avons commencé la phytothérapie “sérieusement” depuis huit ans, le plus souvent en association avec les traitements classiques de cuivre et de soufre, pour ne pas rajouter de passages. Les plantes sont appliquées sous forme d’infusions. Nous travaillons au maximum avec des plantes fraîches que nous récoltons nous-mêmes. C’est le cas notamment de l’osier naturellement présent dans les vignes, de la sauge, de l’ortie et de la prêle. Nous achetons également quelques plantes séchées dans le commerce quand nous n’en trouvons pas ou qu’elles sont difficiles à récolter, comme c’est le cas pour la camomille ou la racine de valériane. Les applications varient d’une année à l’autre selon le climat notamment. Mais nous commençons souvent par une application d’osier en début de saison, cela correspond à la bonne période d’emploi de cette plante, puis nous poursuivons avec…
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