Est-il possible de réduire les doses de cuivre en viticulture ?

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L’Inra et l’Itab viennent de procéder à une grande étude qui recense toutes les solutions alternatives pour réduire les applications de cuivre. Certaines méritent d’être retenues même si, pour l’instant, elles ne permettent pas de se soustraire du cuivre.L’Inra et l’Itab ont entrepris ce que l’on appelle une méga analyse sur le thème « Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ? » Il s’agit, selon un protocole bien précis, de dresser un bilan des connaissances scientifiques et techniques publiées (900 références) par des experts. Ainsi, ont été listés plusieurs leviers pour diminuer les doses de cuivre. « À notre grand regret, souligne Didier Andrivon de Inra de Bretagne, très peu de bibliographies traitent d’une combinaison de tous ces leviers. » Or, il serait possible de le faire puisqu’ils ne s’appliquent pas au même stade de la maladie. Ainsi, les micro-organismes dégradant la litière s’appliquent durant la saison hivernale et le cycle primaire de la maladie. Selon des essais canadiens, Microsphaeropsis ochracea stimule la microflore détritivore indigène des sols, avec un succès significatif (la vinasse de betterave joue le même rôle).Réduire les doses…
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