En 2021 au Château Haut-Pradot, deux traitements antimildiou ont suffi

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Le soreli du Château Haut-Pradot n’a nécessité que deux traitements l’an dernier, contre seize pour les variétés non résistantes. Photo : Château Haut-Pradot
Au Château Haut-Pradot (Gironde), Benoît et Élodie Fazembat ont planté 20 ares de soreli en 2018 et 1,2 ha de merlot khorus1 en 2019. Pourquoi celles-ci ? « J'avais dégusté les vins et je les avais préférés à ceux issus des variétés françaises. Lorsque l'on goûte les vins de merlot khorus, on retrouve pas mal de caractéristiques du merlot », résume Benoît Fazembat. Certifié HVE depuis 2016 et en deuxième année de conversion bio, son objectif est de réduire les traitements phytosanitaires et son impact carbone.Pour l'an dernier, l'objectif est atteint : « Deux traitements ont suffi, contre 16 pour les variétés traditionnelles, c'est plus que bien ! » s'enthousiasme le vigneron, qui s'estime gagnant sur tous les fronts : sa santé, celle de ses consommateurs, le bilan carbone… et son porte-monnaie, étant donné les économies de gasoil et de produits phyto qu'il a réalisées.Un vin de France 100 % soreliMalheureusement, la parcelle de soreli, qui devait donner ses premiers raisins secs en 2021, a gelé au printemps, comme 60 % du domaine de 15 ha. Les quelques caisses ramassées ont été vinifiées en assemblage. La première vraie vinification devrait donc être pour 2022. Benoît Fazembat a prévu…
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