La chambre d’agriculture du Jura/société de viticulture du Jura a mené de 2014 à 2016 des expérimentations visant à améliorer le taux de nouaison. Biostimulant et pratiques viticoles font partie des modalités testées.Les biostimulants sont de plus en plus intégrés dans les expérimentations des instituts et structures techniques. La chambre d’agriculture du Jura/société de viticulture du Jura a mené de 2014 à 2016 des expérimentations visant à améliorer le taux de nouaison. « Ces essais ont été menés sur poulsard, cépage jurassien particulièrement coulard », précise Elena Rogron, conseillère viticole à la société de viticulture du Jura. La fréquence des accidents de floraison sur Poulsard est en lien avec les contraintes climatiques, mais également avec les pratiques culturales, ainsi que l’équilibre nutritionnel et hormonal.« Face à ce constat, il nous a semblé important de tester différentes pratiques préventives », précise-t-elle. Parmi les modalités suivies, l’utilisation d’un biostimulant (Vivaflor - 3 applications : grappe séparée/début floraison/fin floraison), mais aussi différentes pratiques viticoles : l’écimage tôt (fin floraison-début nouaison), un ébourgeonnage précoce,…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
