Complanter ou replanter, telle est la question

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En Bourgogne, l’homogénéité parcellaire est impactée par les complantations successives. Photos : E. Thomas/Pixel Image
Avec la progression des maladies de dépérissement en vigne, le remplacement des manquants ou complantation est lui aussi en forte hausse. Cette pratique a des conséquences sur le potentiel de production. En Bourgogne, le BIVB développe un outil d’aide à la décision permettant d’orienter le choix entre complantation et plantation.En Bourgogne, de moins en moins de parcelles sont replantées, alors que le remplacement des manquants est lui en forte hausse ces dernières années.« Le taux de renouvellement est seulement de 1,5 à 2 % par an dans le département de l’Yonne, et il est inférieur à 1 % en Côte-d’Or et en Saône-et-Loire », explique Corinne Trarieux, responsable coordination technique du pôle technique et qualité du BIVB. Ce taux de renouvellement bas s’explique, notamment dans les vignobles comme ceux de Côte-d’Or, par la forte proportion de parcelles en fermage, pour lesquelles forcément les propriétaires ne sont pas enclins à l’arrachage. Mais c’est aussi une difficulté pour les parcelles en propre : « Chez nous, un domaine a en moyenne à sa gamme 6 à 7 appellations différentes, et arracher une parcelle…
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