Il faut réenchanter le champagne

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Pour Vincent Perrin, directeur du Comité professionnel du vin de Champagne : « Le CIVC va devoir accompagner tous ces expéditeurs qui ont pris l’habitude de vendre à proximité de leur exploitation. Il s’agit pour nous d’un vrai défi. » Photo : Comité Interprofessionnel du Vin de Champagne
En poste depuis le mois de septembre 2014, Vincent Perrin a pris la suite de Jean-Luc Barbier à la direction du Comité Champagne. Il nous livre ses premières impressions et ses projets pour l’appellation.Pouvez-vous nous résumer votre parcours professionnel avant le CIVC ?Vincent Perrin : Je suis depuis quinze ans un haut fonctionnaire au service des entreprises, et en particulier à l’international. J’ai une carrière au sein du ministère des Finances où j’ai occupé successivement toutes les positions qui viennent en appui au développement international des entreprises. J’ai passé la moitié de ma carrière en Chine, à Shanghai et Pékin. C’est un réel atout pour diriger le CIVC. Le fait de connaître de façon transversale le secteur public et le secteur privé est un autre de mes points forts pour ce poste, et d’être plus novice concernant la viticulture n’est pas un frein car nous disposons de nombreux experts au sein du comité, aussi bien d’un point de vue technique qu’économique ou juridique. Mon rôle est celui d’un chef d’orchestre capable de conjuguer tous ces talents pour la cause de l’appellation…
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