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Exemple de plan 3D pour un projet  de cave 100 % Della Toffola. En bas  à droite, à l’extérieur du chai, se trouve la ligne de réception avec trémie de vidage des caisses à vendange, convoyeurs, égrappoir et pompe à marc. En bas à gauche, à l’intérieur, le pressoir. En haut, la cuverie avec ses escaliers et passerelles. Photos : DR
Avec la possibilité offerte par FranceAgriMer (jusqu’en 2015) de subventionner une partie de son investissement, le vigneron souhaitant rénover l’appareillage de son chai peut être tenté de grouper ses achats. Pourquoi ne pas le faire avec un seul constructeur ou « intégrateur » ? Les bénéfices d’une telle solution ne sont pas négligeables. Explications.«Certes, le financement extérieur va accélérer l’investissement en matériel. Mais le plus souvent, il ne le justifie pas à lui seul, étant donné que le projet est mûri en amont : par exemple, le vigneron a décroché de nouveaux marchés, et il doit produire davantage », annonce David Rullier, dirigeant du Groupe Rullier, distributeur historique des matériels Bücher Vaslin dans le Bordelais, et désormais dans tout le sud de la France. Ce constructeur – qui n’a pas l’habitude de travailler en direct avec les caves particulières – est en mesure d’équiper un chai de vinification, de la réception de vendange aux opérations préfermentaires. « Généralement, les prospects qui font appel à nous pour des chantiers de ce type appartiennent à l’une ou l’autre…
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