Surveiller le cuivre dans les moûts

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Selon les millésimes, les pratiques des viticulteurs, la teneur  en cuivre dans les moûts sera plus ou moins importante. © Licha67/fotolia
Œnofrance propose depuis 2015 sa gamme d’auxiliaire de vinification Diwine®, formulée autour d’un chélateur de métaux lourds et notamment du cuivre. En effet ce métal joue un rôle négatif au cours de plusieurs aspects de la vinification.  Le rôle néfaste du cuivre sur la vinification serait-il sous-estimé ? Les analyses de cuivre dans le moût devraient-elles devenir courantes dans les laboratoires ? C’est le point de vue de Christophe Morge, directeur de la recherche et du développement d’Œnofrance, du groupe Sofralab.Depuis 2015, pour chaque millésime, la société réalise des analyses de cuivre, spécifiquement dans le moût. Ce métal est en effet éliminé en grande partie lors de la fermentation alcoolique et se retrouve donc en plus faible quantité dans le vin. En 2016, sur 1 066 moûts de différentes couleurs analysés en France, les résultats ont révélé une concentration encore plus forte en cuivre comparativement à 2015. Plus de 80 % des échantillons contenaient plus de 0,5 mg de cuivre par litre de moût. Pour Christophe Morge, cela s’explique notamment par les conditions du millésime qui étaient particulières, avec une pression maladie forte et des récoltes plus faibles…
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