Après l’étude Biodynaviti, destinée à étudier l’impact de pratiques biodynamiques sur le fonctionnement de la vigne et la qualité des raisins, le projet Biodynavin, conduit par l’IFV Centre-Val de Loire, s’est focalisé sur l’impact des préparations 500P et 501 sur la biodiversité levurienne lors des vinifications, et la qualité des vins, de 2016 à 2019. Six parcelles ont été suivies, trois de cabernet franc et trois de chenin. Les apports de bouse de corne (500P) au sol à l’automne, et de silice de corne (501) pulvérisée sur feuillage à deux reprises, ont été comparés avec une conduite en bio.Sur la biodiversité fongique sur raisin, c’est l’effet exploitation qui a le plus d’influence, suivi du cépage et ensuite du mode de conduite bio ou biodynamique. D’autres résultats ont tendance à mettre en avant l’intérêt des préparations biodynamiques 500P et 501. « Nous avons mesuré une influence légèrement positive sur la diversité levurienne dans les FA indigènes (+30 %), ainsi qu’une augmentation relative de la qualité organoleptique des vins fermentés de manière classique grâce à l’ensemencement de levures bio », résume Philippe Chrétien de l’IFV.Sur l’évaluation…
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