Le concours mondial des Féminalise innove constamment, d’après son fondateur Didier Martin. Voilà quatre exemples.
La qualité des médailles
Didier Martin, fondateur du concours mondial des Féminalise, explique que la qualité des médailles a été beaucoup améliorée. Ces médailles sont fabriquées et imprimées en France, sur un beau papier, en relief, 3D.
« On fait travailler le local. Et on veut que ce soit beau. Notre concours, c’est les femmes, les femmes, c’est du luxe ! »
Une aide à la communication proposée aux vignerons
En quelques clics, il est déjà possible de créer des affiches (A4/A3) personnalisées pour booster ses ventes. Il suffit de se rendre dans l’espace privé producteurs. Sur l’affiche, il est possible de placer le domaine, le vin et sa médaille. Ainsi qu’un commentaire.
Afin d’aider les vignerons à vendre sur Internet, Féminalise est en train de développer un gros travail de communication. Objectif ? Mettre à disposition des vignerons des éléments qu’ils pourront envoyer directement à leurs clients. Par exemple, des fiches pour les cavistes : le vin du mois, le vin de la semaine.
Ainsi que des mini-vidéos. Elles montreront que le vin a été sélectionné par Féminalise.
Avec une utilisation facilitée par des remplissages automatiques, etc.
Une association pour se former à la dégustation
Un tiers des dégustatrices à Féminalise ne sont pas de ce métier.
Une association Femin'Arômes est en cours de création par Maxime Martin, le fils du fondateur Didier Martin. Afin de proposer de la formation à la dégustation. Cela se passe par Zoom actuellement.
L’année prochaine, Femin'Arômes devrait être équipée d’un centre de formation à la dégustation, pour les femmes qui veulent apprendre. Et pas seulement pour le concours Féminalise. Les dégustations auront lieu sur le vin, mais pas uniquement, sur le saké aussi.
Féminalise en franchisé, et sur tablette
Féminalise est une marque déposée. Ce n’est pas un concours avec lieu, comme le concours de Mâcon, Paris, Orange. Il est donc possible de le franchiser. Car ce concours a de la demande pour s’exporter : en Chine, en Italie… D’autant plus si la dégustation se numérise et est permise en plusieurs langues.
« Actuellement, nous sommes équipés avec des fiches toutes prêtes en A3 recto verso. Elles passent dans un lecteur optique pour corriger 4500 vins, il nous faut une matinée. Mais c’est compliqué sur papier de gérer les langues de toutes nos dégustatrices (allemand, néerlandais, etc.). Nous avons donc décidé d’innover. Pour être au top ! C’est un gros investissement : plusieurs centaines de tablettes ! », confie Didier Martin, le fondateur du concours Féminalise.
