L’art d’identifier les marchés à potentiel

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Jean-Louis Ballarin : « La grande distribution est notre socle de commercialisation et je suis persuadé que les ventes vont s’y développer car l’appellation crémant de bordeaux n’en est qu’à ses prémices. » Photos : R. Poissonnet/Pixel image
Jean-Louis Ballarin produit des crémants de bordeaux. Depuis 2011, les ventes ont progressé d’environ 10 % par an. La recette du succès ? Une recherche constante de nouveaux partenaires, la qualité des produits et l’accent mis sur le marketing et le packaging.Depuis trois ans, les ventes des crémants Ballarin ont progressé en grande distribution et à l’export. Jean-Louis Ballarin sait en effet trouver des marchés qui disposent d’un bon potentiel de développement. « Depuis trois ans, les ventes augmentent de 7 à 12 % par an. En 2013, elles ont progressé de 10 %, et en 2014, je pense que nous avons fait un peu mieux », se réjouit le chef d’entreprise dont la famille est installée dans l’Entre-deux-mers depuis trois générations.Chez les Ballarin, on a toujours fait de l’effervescent : le grand-père produisait du bordeaux mousseux, le père pratiquait les méthodes champenoises, et Jean-Louis s’est lancé dans le crémant de bordeaux. Il rejoint l’entreprise familiale en 1979 et développe la commercialisation en bouteilles. Le vigneron produit des crémants de bordeaux depuis…
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