La communication sur l’œnotourisme doit s’adapter aux attentes des clientèles
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Publié le : Dernière Mise à jour : 21.02.2023Par : Sophie Senty Lecture : 4 min.
André Deyrieux est sommelier, vice-président du Conseil supérieur de l’œnotourisme, rédacteur en chef du site Internet winetourism, conseiller en stratégie œnotouristique du territoire, et auteur de plusieurs ouvrages sur les cépages oubliés et sur l’œnotourisme. Photo : DR.André Deyrieux, spécialiste de l’œnotourisme, distille dès qu’il le peut un message fondamental : pour attirer des touristes aux attentes diverses, il faut communiquerde façon plurielle sous peine de voir les visiteurs étrangers privilégier d’autres destinations.L’œnotourisme parle-t-il aux consommateurs ?André Deyrieux : La question se pose par rapport à ce qu’est le monde du vin, et la clientèle que l’on peut satisfaire d’un autre côté. Il faut une vision ouverte de l’œnotourisme et se demander : quel est le marché ?Quel est le marché ? Quels clients ?A. D. : Il y a quatre types de clientèle pour le tourisme du vin. La première : des amateurs de vin. Si j’ouvre mon caveau pour faire déguster, il n’y aura que cette clientèle. La deuxième : les épicuriens. Ils veulent passer un bon moment, déguster les produits du terroir. Ils participent à des animations, événements comme la Percée du Vin Jaune. C’est une…
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