Comment les distributeurs perçoivent les cépages oubliés ?

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Le bouchalès fait partie des cépages bordelais tirés de l’oubli par Frédéric Mallier (Château de la vieille chapelle en Gironde) grâce à une parcelle préphylloxérique qu’il met en valeur.  Photo : F. Mallier
Selon une étude réalisée auprès de plus de 300 distributeurs français, les cépages patrimoniaux sont synonymes de diversité, d’histoire et de terroir. Une perception positive, signe d’un regain d’intérêt, estime l’auteure de l’étude.Connaissez-vous le béquignol, le bouchalès, le merlot blanc, le sauvignon gris ou le cabernet goudable ? Tous ces cépages, comme beaucoup d’autres, ont été cultivés dans la région bordelaise, puis ont été plus ou moins oubliés après la crise du phylloxera. Avec la mondialisation et le changement climatique, ces cépages pourraient-ils retrouver un intérêt ? C’est l’hypothèse qu’a testée Julia Riffault, une étudiante ingénieur agronome, en réalisant une enquête auprès de cavistes, restaurateurs, bars à vin, épiceries, lors de son mémoire de fin d’études, encadré par Wine Mosaic et la société de négoce Histoire d’hommes et de terroirs (Camarsac, Gironde).Une demande existeL’enquête a été réalisée par Internet et 337 réponses ont été recueillies en provenance de toute la France. La moitié des répondants sont des cavistes, 22 % des restaurateurs, 19 % des bars à vins. Parmi eux, 70 % proposent des vins issus de cépages patrimoniaux…
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