Dans sa fiche "Protection anti-mildiou : un seul mot d’ordre, anticiper !", BASF livre quelques chiffres clés sur le mildiou :
7,1 c’est, en moyenne, le nombre de traitements qu’a dû faire un viticulteur en 2012 pour lutter contre le mildiou.
11 °C c’est la température minimale nécessaire au déclenchement des contaminations primaires au printemps.
246 €/ha c’est l’investissement moyen d’un viticulteur en France en 2012 pour sa lutte contre le mildiou.
4 jours c’est le temps optimal nécessaire au mildiou pour finaliser la totalité de son cycle, de la contamination par la spore jusqu’à la sporulation suivante.
1878 c’est l’année où le mildiou de la vigne, Plasmopara viticola, a été observé pour la première fois en France.